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La formation et la reconversion professionnelle

La formation et la reconversion professionnelle, c’est LE thème d’actualité par excellence. Qu’on soit parent ou pas, femme ou homme, et à tout âge, c’est une problématique à laquelle nous sommes tou.te.s confronté.e.s au moins une fois dans sa vie. Et dans la phrase précédente, l’écriture inclusive a toute son importance (ou pas, mais c’est d’actualité) 😉

Reconversion : de quoi parle-t-on ?

D’abord, parlons chiffres (un tout petit peu, je n’aime pas les maths). Les spécialistes énoncent un peu partout que la population active actuelle exercera entre 5 et 9 métiers différents dans sa vie professionnelle (ici, un exemple d’analyse de 2010). Dans le même temps, six métiers sur 10 qui seront exercés en 2030 n’existent pas encore. Pire, Pôle Emploi a accueilli plus de 5 600 000 chômeurs en France en août 2017. Dit comme ça, ça fiche la trouille, mais en même temps, c’est un beau challenge. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que la faculté d’adaptation est un savoir-être clef pour les recruteurs.

Autant dire que pour nous, parents, on part avec un sacré atout. S’adapter, on sait faire. Jongler entre différentes tâches – voire les accomplir en même temps – c’est notre lot quotidien. Mais si on a fait le choix de s’occuper de nos bouts de chou avant de construire notre carrière, ces chiffres peuvent foutre la trouille. Littéralement. Et plus encore si on est une femme.

Ça craint.

Père ou mère au foyer, on a parfois mis nos carrières entre parenthèses pour élever nos enfants. Femmes, on a été obligées de composer entre nos boulots (ou recherches de boulot) et nos congés maternité. Hommes ou femmes, on a parfois été confrontés à des employeurs casse-bonbons sur le sujet. Ou plus rarement à des employeurs compréhensifs (merci à eux).

Et quand on se rend compte qu’on doit changer de boulot pour mieux concilier la vie professionnelle et la vie de famille, ou quand on doit reprendre un travail après avoir élevé nos enfants, l’histoire de la reconversion professionnelle devient vite un sacré casse-tête (et une belle source d’angoisses en tout genre).

Les enjeux de la reconversion professionnelle

Facile, comme question. Les enjeux de la reconversion professionnelle, c’est… Eh bien, non, pas si facile que cela, parce que ça dépend de chacun. Cela peut-être l’envie de se confronter à de nouveaux challenges. Ou le besoin de reprendre une activité professionnelle plus en adéquation avec ses valeurs ou ses priorités. Par ailleurs, ce peut-être un besoin de revoir ses ambitions salariales à la hausse. Cela peut être aussi l’envie d’être utile. De retrouver un rythme hors les murs de chez soi. Ou de créer son activité pour gérer son temps comme on l’entend (ça rime). On peut aussi vouloir un job plus épanouissant, ou moins chronophage, ou moins stressant. Ou plus près de chez soi. Ou encore qui permette d’éviter les horaires décalées.

Bref, chacun sa popote, et personne – PERSONNE – ne devrait devoir juger ce choix-là. La rumeur dit que cette dernière phrase n’est pas forcément politiquement correcte, mais pourtant, elle est essentielle. Si vous êtes papa au foyer depuis 3 ans, que bébé rentre à l’école, et que vous choisissez ce moment-là pour changer radicalement de vie professionnelle et trouver un boulot qui vous permette de vous ménager du temps avec votre gosse quand même, y’a pas à juger. Si vous êtes maman, que vous êtes cadre sup’, que vous voyagez à l’international pour le boulot tous les quatre matins et que vous aimez ça, idem. Pas de jugement. À chacun.e ses enjeux, et ses priorités.

L’exemple de PapaBackstage

Ancien maquettiste d’édition, PapaBackstage a mis sa carrière entre parenthèses le temps de s’occuper de BébéBackstage. De sa naissance, jusqu’à son entrée à l’école. Il l’a élevée, aimée, papouillée, câlinée, consolée, endormie, réveillée, nourrie, blanchie, lavée, sortie, éduquée, et il a été au top du papa poule jusqu’au bout. Et comme s’approchait l’échéance de l’entrée à l’école, PapaBackstage a pris le temps de préparer sa reconversion professionnelle. Dans l’ordre : il a suivi un bilan de compétence (décembre 2015).

Là, il a exploré les choix professionnels qui s’offraient à lui, et il a opté pour les métiers du Webdesign (une passion). Avec sa conseillère Pôle Emploi (et moultes péripéties), il a repéré la formation à distance qui lui convenait pour accéder à ce métier. Il l’a suivie, de septembre 2016 à mai 2017, et l’a validée haut la main. Il s’est accroché. Bien sûr, il a bossé comme un malade, tout en continuant à s’occuper de BébéBackstage, mais ça en valait la peine. Il a décroché un super titre professionnel, et il a tapé dans l’œil de la boîte qui l’avait pris en stage. Maintenant, il travaille pour cette boîte, comme prestataire de service, et il s’éclate. Le début d’une belle histoire professionnelle (chéri, je t’aime).

L’exemple de MamanBackstage

J’en suis à ma deuxième reconversion professionnelle. J’ai commencé par les métiers de l’édition et de la communication, avant d’être écœurée par ce milieu. Je voulais un métier qui ait du sens, qui soit utile aux autres, et qui m’apprenne beaucoup. J’avais envie d’un métier tous les jours différents, aussi. J’ai fait un bilan de compétence, qui a confirmé le choix que j’avais fait, et j’ai suivi une formation en ingénierie pédagogique et ingénierie de la formation juste après mon congé de maternité. C’était dur. Des mémoires à rédiger, des oraux à passer, des stages à trouver… En sortant de cours, je bossais à la maison. Et je ne voyais presque pas ma fille. Mais j’ai validé mon titre professionnel, et j’ai commencé à bosser dans ce milieu que j’ai adoré.

Jusqu’à ce que je retombe enceinte, et qu’on m’explique gentiment que, contre l’avis de ma N+1, mon CDD ne serait pas renouvelé à l’issue de mon congé maternité. C’est vrai, quoi, les patrons ont autre chose à foutre que de garder du personnel compétent qui se permet de prendre le temps de se construire une vie de famille…. Bref, passons.

J’ai accouché de ma deuxième fille, avec l’horreur que l’on sait. À l’issue de mon congé maternité (parce que oui, la Sécu me l’a donné quand même), il m’a fallu faire un choix. Rechercher du boulot dans la formation, changer de voie, compléter ma formation initiale, rester à la maison… C’était compliqué. Mais j’avais besoin de me changer les idées, de retrouver un rythme, de sortir de chez moi. Et en même temps, je n’étais pas encore en mesure de repartir m’occuper des problèmes des autres tout de suite. Alors j’ai coupé la poire en deux, et je suis repartie en formation. Je passe un master d’encadrement éducatif, qui prépare au concours de Conseiller Principal d’Éducation.

Pour faire court, disons que c’est le même boulot que celui que je faisais avant, mais dans un autre contexte (l’école plutôt qu’un centre de formation) et avec un public différent (adolescents plutôt qu’adultes). Et pour ce que j’ai déjà vu de ce métier pendant ma formation actuelle, j’aime. J’adore. C’est typiquement ce qu’il me fallait. Reste à avoir le concours et valider le master, mais ça, c’est une autre paire de manches.

Euh, du coup on commence par quoi ?

Tout dépend : si vous avez déjà une idée fixe, allez directement à la case Pôle Emploi pour faire valider votre projet par votre conseiller, et attaquez la recherche d’emploi. Sinon, on commence par…. trouver sa voie ! Parce que, bon, on va pas se mentir, on a tous besoin de bouffer et on est prêts à prendre n’importe quoi pourvu que ça puisse payer les factures. Mais en même temps, c’est mieux de trouver le boulot dans lequel on peut s’épanouir. Histoire de ne pas perdre sa vie à la gagner. On y laisse quand même 1/3 de nos journées, c’est pas pour troquer la bave de bébé sur le tee-shirt avec les hurlements intempestifs contre les bipbip infernaux de la friteuse de chez Ronald (sauf si c’est notre passion, pas de jugement).

Note importante, avant de commencer : une grosse partie de ce qui va suivre peut vous concerner même si vous êtes déjà en emploi. Il vous suffit de remplacer pôle emploi par votre OPCA en termes d’interlocuteur à privilégier pour l’accompagnement comme pour le financement éventuel d’une formation. Toutes les infos sur les interlocuteurs à solliciter en fonction de votre situation pro se trouvent ici.

On fait le point dans la joie et la bonne humeur

D’abord, on fait le point sur : ce qu’on a fait (oui, l’extraprofessionnel ça compte, encore heureux ! Merci les cours de théâtre qui facilitent la communication, mes 14 enfants qui m’apprennent l’organisation et la gestion d’équipe, et tout le tralalala), ce qu’on a appris (à l’école, à la fac, au boulot, en suivant un MOOC, en se formant tout seul…), ce qu’on aime/n’aime pas (dites, les maths : je vous déteste et y’a longtemps qu’il fallait que je vous le dise). Voilà. Normalement, maintenant, votre feuille ressemble à un joyeux bordel, avec des ratures partout et des flèches dans tous les sens (sinon, vous n’avez pas fini : continuez !). Et si vous êtes comme moi, maniaque des listes et adepte du BuJo et des fournitures scolaires, vous avez même imaginé un code couleurs/symboles pour classer les trucs, même si on s’en fout. C’est pour le style.

Ensuite, on fait le point sur ce qu’on voudrait comme type de boulot (entendez par là les conditions de travail idéales). Genre un temps partiel, pour voir ses gosses en semaine avant l’heure du coucher, pas trop loin de la maison (pour pas se ruiner en essence), dehors ou dedans, avec ou sans déplacements, avec ou sans équipe (selon qu’on un peu/beaucoup/pas du tout sociable)… On parle bien de faire dans l’idéal. On s’en fiche pour l’instant de savoir si ça existe ou pas (et c’est souvent difficile de faire taire sa raison à ce moment-là, mais ne brûlons pas les étapes). Maintenant, vous écrivez les choses qui peuvent être négociables, et à quelles conditions.

Et maintenant ?

Là, vous vous dites que vous n’êtes pas plus avancés que ça, merci de m’avoir fait perdre mon temps. Erreur, très cher.e. Maintenant, il va falloir commencer à se creuser le ciboulot (comment ça, c’est déjà le cas ?). Reprenez vos expériences professionnelles. Détaillez, pour chacune d’elle, ce que vous faisiez, avec qui, comment (outils, techniques…), et – surtout – comment vous vous sentiez par rapport à ces tâches : c’était agréable, détestable, le meilleur moment de ma journée, je haïssais cela etc. C’est important, parce que ça va vous permettre de savoir quelles compétences vous avez envie d’utiliser, et dans quel contexte. Là, normalement, vous êtes armés pour commencer à définir une famille de métiers susceptibles de vous plaire.

D’abord, un petit aparté : il existe des tonnes de tests gratuits (ou pas) en ligne censés vous aider à trouver le métier qui vous correspond. Qu’on soit clair.e.s, OpenAsk, c’est pas la source la plus fiable du monde (même si vous avez des pubs intempestives pour eux tous les jours sur Facebook). Par contre, certains tests sont ceux qui sont utilisés aujourd’hui par les prestataires de bilan de compétences (peu importe le nom qu’on leur donne, d’ailleurs : Activ’Projet, CPP etc.). Mais si vous ne savez pas l’utiliser et tirer le meilleur profit du résultat, c’est à prendre avec du recul. Vous pouvez les passer, ça donne des idées, mais restez ouvert.e.s à d’autres horizons 🙂

Maintenant, on essaie d’y voir plus clair

Ensuite, maintenant qu’on a bien débroussaillé tout ça, il faut essayer de formaliser un peu le tout. Est-ce que ce qui ressort de mon étude, c’est que j’ai envie d’un métier plutôt social ? Plutôt axé vers le soin ? Vers les chiffres ? Dans l’enseignement ? On cherche à définir LE grand domaine de votre futur métier, pas (pour l’instant) le métier lui-même. Quand vous l’avez, direction le site de pôle emploi, section ROME (Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois). Pour exemple, si je tape « formation » dans le champ de recherche par compétences, j’obtiens des résultats à la con au début des résultats intéressants, classés par grands secteurs (conseil en emploi et insertion socio-professionnelle, conseil en formation, coordination pédagogique, enseignement etc.).

Et là, c’est le drame, il y a en a des millions… Et il faut trier. On commence par lire la fiche de chaque « grand secteur ». On obtient tout un tas de super informations : descriptif du métier, compétences liées au métier (à mettre en perspective avec les compétences que vous avez déjà et qu’on a listées plus haut, histoire de voir ce qu’il vous reste à acquérir), les conditions d’exercice du métier (à voir avec votre travail sur vos conditions de travail idéales)… Et les appellations métiers ! Et ça, c’est important, parce que ça regroupe tous les postes que vous pourrez trouver en lien avec ce secteur. Ensuite, on regarde l’onglet de la mobilité professionnelle, pour voir les emplois proches, et on continue à lire et à dépiauter fiche par fiche.

Normalement, vous devez en trouver une dizaine qui vous plaisent (sinon, il faut continuer à lire et explorer d’autres domaines). Et là, il faut trier. Par ordre de préférence. Aidez-vous des vidéos de présentation des métiers qu’on peut trouver sur Youtube, interrogez des pros si vous en avez autour de vous, etc.

J’ai l’impression d’être perdu.e maintenant !

Oui, normal. Pourtant, vous avez bien avancé. Maintenant, vous pouvez aller voir pôle emploi et expliquer votre démarche. Demander un bilan de compétences, pour lequel vous aurez déjà bien préparé tous les entretiens qui vont vous être proposés. Ou demander un stage (PMSMP de son petit nom institutionnel) pour explorer une piste en particulier, histoire d’être certain.e d’être sur la bonne voie. L’idée, c’est de valider votre projet. D’abord pour vous, mais aussi pour rassurer pôle emploi. Lorsque votre projet est validé (par un stage ou un bilan de compétences, voire les deux), vous allez leur demander un coup de main pour financer la formation qui vous permettra d’accéder au métier, alors autant montrer patte blanche d’entrée de jeu.

Mais avant de parler finances, parlons de l’avant-dernière étape : la formation. Vous avez déterminé le métier qui vous plaît, et les conditions dans lesquelles vous voulez l’exercer. Vous avez confronté tout ça à la réalité, pour valider le projet et être sûr.e de ne pas confondre vitesse et précipitation. Et vous avez vu qu’il vous manque quelques compétences pour rassurer un futur employeur (si ce n’est pas le cas, direction la VAE, mais ça, c’est une autre paire de manches).

Du coup, il faut trouver LA formation idéale. De préférence reconnue, finançable, adaptée au marché du travail dans lequel vous voulez vous insérer, et pas trop loin de chez vous (ou à distance, pour les plus asociaux – PapaBackstage, je t’aime, pas taper !). Pour cela, la personne en charge de votre bilan de compétences peut vous aider. Votre conseiller.e pôle emploi aussi. Mais si vous aimez bien vous charger vous-même de tout ça (c’est mon cas), direction une mine d’or : le site du Carif-Oref de votre région (Google est votre ami).

Ce site regroupe toutes les formations financées par votre Conseil Régional, classées par domaine métier, avec les dates de début/fin, les organismes qui les dispenses, les modalités de financement, les contenus, bref, tout ce que vous voulez savoir. Repérez-en deux ou trois, et contactez les organismes de formation. Un.e gentil.le responsable de dispositif/conseiller en formation (peu importe le nom du poste) vous expliquera patiemment comment candidater et obtenir le meilleur financement possible.

Parlons francs et sans tim-idité (ouais, c’est nul ce jeu de mots).

Si la Région ne peut/veut pas prendre en charge votre formation, pas de panique, il reste des solutions. Si vous avez bossé auparavant, vous avez dû accumuler des heures de DIF/CPF que vous pourrez retrouver ici (si vous avez créé un compte, sinon, faites-le). Ces heures sont mobilisables pour financer tout ou partie de votre future formation. Par ailleurs, pôle Emploi peut également mettre la main à la poche, sous certaines conditions (contactez votre conseiller.e). Vous pouvez également vous rapprocher de l’OPCA de votre dernier secteur professionnel, pour examiner d’autres possibilités de financements selon votre statut (si vous venez de quitter un CDI, par exemple, ou si vous avez atteint un certain nombre de mois en CDD sur les dernières années). Bref, il y a des solutions.

Bien sûr, certain.e.s n’auront pas de financements possibles. Et il faudra mettre la main à la poche. Là, on en revient à la friteuse de l’ami Ronald, au moins de façon transitoire. Mais dans l’ensemble, vous devriez trouver une solution satisfaisante. En tout cas, je vous le souhaite.

Une fois que ma formation est financée…

D’abord, félicitations, vous avez fait le plus dur (et le plus relou). Maintenant, direction votre formation, et éclatez-vous. Profitez-en pour vous faire de l’expérience (la plupart des formations impliquent des stages), et pour vous constituer un réseau professionnel (les formateurs, les intervenants, les pros que vous allez côtoyer, vos camarades de galère…). Et c’est parti pour la grande aventure !

On finit l’article par quelques conseils supplémentaires (c’est gratuit !) :

  • Interrogez vos proches, vos amis, votre famille. C’est parfois difficile de parler de soi, de réfléchir objectivement à ce qu’on sait faire. Ils peuvent vous y aider, alors sollicitez-les (et écoutez-les, bordel !).
  • Se reconvertir est un processus long, qui peut être difficile et taper sur le moral. Respirez. Prenez le temps. C’est important. Ne vous laissez pas abattre si un stage qui se passe mal vient tout remettre en question, ou si vous avez l’impression de patauger dans votre formation. Parlez-en (aux proches, aux conseillers, à qui vous voudrez). Accrochez-vous. Persistez. Si c’est vraiment ce que vous voulez faire, vous y arriverez.
  • Si vous vous apercevez que vous vous êtes trompés, ce n’est pas un drame. Recommencez. Tout ce temps n’est pas perdu, au contraire. Vous apprenez beaucoup sur vous, sur vos compétences, sur vos ressources personnelles (trop souvent sous-estimées). Vous saurez les valoriser ensuite (sur le CV, en entretien, sur le terrain…).
  • Et quand vous aurez réussi, n’hésitez pas à conseiller vos proches quand ils commenceront à parler de leur propre reconversion professionnelle 😉

Papa Backstage

Découvrez un monde que vous ne soupçonniez pas. Le vomit sans l’alcool, les cernes sans l’âge et la fatigue sans la fête. Foutez tout en l’air dans la baraque, jetez ce hochet au sol et venez headbanguer au rythme du cri primal.

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Commentaires

Une réponse à “La formation et la reconversion professionnelle”

  1. Sébastien dit :

    Un dernier conseil à ajouter: faites du bénévolat !

    Si vous êtes vraiment motivé pour faire une reconversion et voulez tester d’abord le métier, c’est la meilleure façon.

    Prenez une semaine de congé au boulot et aller travailler gratuitement dans une boulangerie par exemple (si c’est ça qui vous rend heureux).

    Qui sait, peut-être qu’après votre semaine de bénévolat, le proprio décidera de vous engager !

    Ceux qui pensent que c’est « débil », je l’ai fait et croyez-moi, je ne le regrette pas 😉

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